Adoption de chats
Où avez-vous trouvé vos chats ?
- D’un élevage.18%
- D’une ferme.25%
- D’amis, de connaissances ou de voisins.23%
- D’un refuge.25%
- Sauvé de la rue.9%
Le concours est terminé.
Adoption de chats, épisode 1 : je cherche un refuge avec des chats d’appartement
Ça y est : j’adopte enfin mes premiers chats d’appartement. Trouver son animal de compagnie dans l’un des nombreux refuges pour animaux ne devrait pas poser de problème. C’est du moins ce qu’on croit.
On pourrait croire que c’est une blague. J’écris chaque semaine sur Galaxus à propos des chats alors que je n’en ai même pas. Ou plutôt plus. J’ai grandi avec des animaux de compagnie. Depuis que j’ai quitté la maison de mes parents, les petites bêtes me manquent énormément. Habitant dans la vieille ville, sans balcon et sans possibilité pour les chats de sortir, j’ai renoncé à en avoir. Mais bonne nouvelle !
Mon mari et moi avons déménagé dans un nouvel appartement de 93 mètres carrés avec balcon, où nous aurons la possibilité de laisser sortir les bestioles. Ils ne pourront toutefois pas aller plus loin et découvrir le quartier vert, car nous n’avons pas le droit d’installer un escalier pour chats. Nous commençons donc notre recherche de chats d’appartement. Ce qui est sûr, c’est que nous voulons des chats d’un refuge pour animaux. Nous ne sommes pas intéressés par les animaux d’élevage ou les chatons. Il y en a plus qu’assez et, en raison de leur apparence, ils trouvent en général rapidement un nouveau propriétaire.
Source : BearFotos/Shutterstock
Les chats d’appartement sont rares
Tout cela est bien beau, mais il y a un problème. En parcourant les refuges pour animaux de la région de Zurich, je trouve principalement des chats d’extérieur. Pour ce qui est des chats d’appartement, il y a seulement quelques chatons ou des animaux malades. Je sais à quel point l’administration de médicaments peut être angoissante. Je ne pense pas que nous soyons capables d’ajouter des comprimés à la nourriture pendant des années. Déçue, j’interromps ma recherche pour le moment.
Quelques mois plus tard, l’envie me saisit à nouveau. Alors rebelote, je fais de nouveau le tour des refuges zurichois. Je tombe sur le Chatzestübli (site en allemand) à Dübendorf. On y trouve plusieurs chats d’appartement, principalement de Suisse, mais aussi d’Italie, d’Espagne et de Roumanie. Ils proviennent de différentes organisations de protection des animaux avec lesquelles le refuge collabore. Les avis Google (4,8) sont excellents. Ça vaut le coup d’essayer.
Le passé et le caractère sont déterminants
« Uschi à l’appareil », me salue une voix embrumée et amicale au téléphone. Ursula Macias, qui gère le Chatzestübli avec sa fille Mélanie, m’est tout de suite sympathique. Elle me parle de ses chats de refuge et m’explique que c’est en fonction de leur passé et de leur caractère qu’elle décide s’ils ont besoin ou non de sortir. C’est ce qui démarque cet endroit des nombreux autres refuges pour animaux qui proposent des chats qui vivaient autrefois en appartement en tant que chats d’extérieur, juste parce qu’ils montrent de l’intérêt pour le monde extérieur.
La démarche d’Uschi me plaît. Cela coïncide avec les déclarations faites lors d’une interview que j’ai réalisée il y a quelque temps avec la fondation Médor, Mistigri et leurs droits :
C’est l’heure de la visite – voici les favoris
Bien sûr, je veux aller voir les petits félins et leur élevage sur place. Je fixe immédiatement un rendez-vous avec Uschi. J’ai déjà jeté mon dévolu sur Lorenzo, le chat tigré roux, Yumi, la chatte noire et blanche, ainsi que sur Haru, le chat tigré gris, et Olly, la chatte tricolore, qui ont appris à se connaître et à s’aimer au refuge. Lesquels choisir ? Suivez-moi si vous voulez connaître la suite.
Photo d’en-tête : JW Design/Shutterstock
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Darina Schweizer
Senior Editor
Darina.Schweizer@digitecgalaxus.chJ’aime tout ce qui a quatre pattes et des racines. La lecture me permet de plonger dans les abîmes de l’être humain. Je déteste les montagnes : elles ne font que cacher la vue sur la mer. Quand j’ai besoin d’air frais, je vais le respirer au sommet d’un phare.
