Cinq produits indispensables quand on a des perruches
4/12/2024
Traduction: Stéphanie Klebetsanis
Rio et Cookie partagent ma vie depuis un peu plus d’un mois. Je les adore, mais qu’est-ce qu’elles produisent comme saleté ! Et elles me causent parfois aussi quelques tracas... Heureusement, Galaxus offre des solutions à ces petits problèmes.
Elles font tomber des graines, des plumes et autres détritus partout dans l’appartement. C’est ça, le quotidien des parents de grandes perruches. Néanmoins, nous, colocataires déplumés, pouvons nous simplifier la vie avec quelques accessoires clefs.
Si vous vous demandez qui sont Rio et Cookie, lisez comment mes calos ont investi mon appartement.
Un aspirateur à main
Commençons par mon sujet préféré, la saleté. Les calopsittes appartiennent à la famille des cacatoès et ont un duvet poudreux, fait de plumes blanches, très souples, dont les pointes tombent en poussière et rendent ainsi le plumage étanche. Quand Rio et Cookie se secouent et se nettoient, je vois parfois apparaître un vrai nuage de poudre à la lumière du soleil. Sans compter les plumes perdues et autres saletés, évidemment !
J’ai donc commencé par m’acheter un aspirateur à main. Non, pas pour aspirer mes deux coquines, quand même, mais pour passer un petit coup rapide sur mes meubles et sur le sol de temps en temps.
Mon collègue Patrick a récemment rédigé un article pour vous aider à choisir les bons modèles.
Du papier de soie
Après la poudre, les plumes et les restes de nourriture, le sable et les déjections. Le fond de la cage est doté d’un grand tiroir que je remplis deux fois par semaine d’environ 1,5 l de sable frais pour oiseaux qui absorbe l’urine et les excréments. Comme ma cage mesure 70 x 90 cm, le tiroir en question n’est malheureusement pas très pratique à nettoyer. Lorsque je le tiens droit, il ne passe pas la porte de mon salon, et encore moins celle de ma douche. Mes premières tentatives de nettoyage se sont soldées par un tapis et des fentes de parquet plus sableux que le Sahara...
J’ai donc fait quelques recherches et eu l’idée de tapisser mon tiroir à sable de papier, pour ensuite y enrouler le sable sale et jeter la « couche » produite à la poubelle. De nombreux propriétaires de perruches utilisent simplement du papier journal, ce que je déconseille, car les calos ont tendance à tout grignoter, et l’encre d’imprimerie est mauvaise pour leur santé.
J’ai donc opté pour du papier de soie, comme celui qu’on utilise pour emballer la vaisselle. Il en existe de différentes tailles. J’utilise deux feuilles.
Source : Anika Schulz
Un perchoir « taxi »
Les personnes qui respectent les besoins de leurs perruches les laissent voler librement pendant la journée. Le seul problème, c’est que certaines calos ne veulent pas rentrer dans leur cage le soir. Elles préfèrent s’endormir sur la tringle à rideaux ou sur une étagère... En soi, rien de grave, si ce n’est qu’elles ont tendance à avoir des terreurs nocturnes. Elles s’effrayent vite dans l’obscurité et se mettent alors à voler dans tous les sens, paniquées. Et comme elles voient très mal la nuit, elles peuvent se blesser assez méchamment. Je mets toujours Rio et Cookie « au lit ».
Comme elles ne veulent pas (encore) venir sur ma main, j’utilise un perchoir « taxi ». C’est comme ça que nous, propriétaires de perruches, appelons un perchoir détourné de sa fonction première. Je prends le petit bâton de bois, le propose à Rio et Cookie, elles montent dessus, et je les ramène dans leur cage pour qu’elles y dorment. La plupart du temps, cela se passe très bien, car elles ont l’habitude et savent ce qui va se passer.
Source : Anika Schulz
Des Q-tips
Des Q-tips ?! Oui, oui, vous avez bien lu ! J’ai dû amener Rio chez le vétérinaire récemment, parce que cet idiot s’était frotté quelque chose dans l’œil. Un minuscule bout de plume le piquait terriblement. J’ai essayé de le retirer et, après quelques tentatives infructueuses, j’ai dû faire appel au véto.
Finalement, son œil était enflammé, et j’ai dû lui mettre une pommade pendant quelques jours. Petit problème : les calos ne sont pas des perruches apprivoisées, et Rio ne voulait rien savoir de mes soins, ce que je peux comprendre, vu qu’il avait mal. J’ai tenté autre chose : j’ai pris un coton-tige et je l’ai passé très doucement (et à une distance de sécurité) sur sa tête. Ça a marché ! J’ai ensuite mis un peu de pommade dessus, et j’ai réussi à l’appliquer sur son œil. Je sais, ce n’est pas stérile mais, franchement, avec ce que vous venez de lire, vous conviendrez que ça ne fait pas une grande différence !
Effet secondaire agréable : pour ne pas faire de jaloux, j’ai aussi caressé Cookie avec le coton-tige. Et Cookie ADORE ça, à tel point que nous avons un nouveau rituel : Anika grattouille soigneusement la petite tête de Cookie avec un Q-tip (sans pommade, bien sûr) avant qu’il s’endorme.
Des boîtes de déversement
Et pour terminer, j’utilise des boîtes de rangement solides dans lesquelles je verse une partie de la nourriture et du sable pour oiseaux que j’achète en gros. Les sacs XXL ne sont pas du tout pratiques, et comme ça j’évite les accidents quand je remplis les écuelles. Les perruches font déjà assez de saleté sans que je renverse la moitié par terre !
Source : Anika Schulz
Je range tous les accessoires indispensables à mes calos sur l’étagère aménagée sous leur cage (de nuit). Elle est déjà presque pleine ! À mon avis, j’ai dépensé environ mille euros pour mes deux peluches, leur achat et les frais de vétérinaire compris.
Source : Anika Schulz
Photo d’en-tête : Anika Schulz
Anika Schulz
Teamleader Editorial
Anika.Schulz@galaxus.deEnfant, c'est avec Mario Kart sur la SNES que j'ai entamé ma vie sociale. Après ma maturité, je me suis tournée vers le journalisme et en tant que cheffe d'équipe chez Galaxus, je suis aujourd'hui responsable des actualités. Trekkie et ingénieure.