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L'homme de la première heure à Krefeld
![Seraina Cadonau](/im/Files/7/1/7/6/3/3/9/8/seraina_001_quadrat.jpg?impolicy=avatar&resizeWidth=40)
Nous nous développons et accélérons le rythme : l'année prochaine, Galaxus déménagera dans un centre logistique plus grand sur son site de Krefeld. Ainsi, la demande de main d'œuvre qualifiée augmente dans la logistique. L'un des membres de notre équipe et premier employé à Krefeld est Steffen Beniers, Leader Logistics. Je voulais savoir à quoi ressemble son quotidien et quelles étaient les particularités de ce dernier.
Steffen, tu es Leader Logistics. À quoi ressemble ta journée de travail ?
Steffen : en fait, les jours se suivent, mais ne se ressemblent pas. Mais mon travail se compose de deux tâches principales : d'une part, mon équipe et moi-même sommes responsables des activités opérationnelles quotidiennes et traitons donc le volume de commandes. D'autre part, je pense à l'avenir : à quoi pourraient ressembler le volume et la situation dans six mois, voire un an ? Comment gérer les ventes de Noël à venir ? Que pourrions-nous améliorer ? Ce sont des questions auxquelles je m'intéresse de très près. Pour cela, je mène de nombreux entretiens avec les cadres, les chefs de projet ou l'équipe logistique en Suisse, mais aussi avec des prestataires de services externes. À cela s'ajoutent encore la constitution d'équipes et le recrutement de nouveaux talents qui font aussi partie de mes tâches.
En effet, c'est varié, mais pour moi, cela ne ressemble pas vraiment à de la logistique. Est-ce que tu travailles principalement depuis le bureau ?
En effet, je travaille principalement au bureau, surtout les trois premiers trimestres. Les nombreuses réunions et évaluations ainsi que la coordination des processus l'exigent. Cependant, cela n'a pas toujours été le cas : au cours des premiers mois, j'étais sur le terrain tous les jours, j'emballais moi-même chaque paquet et le déposait sur le siège passager du chauffeur DHL (rires). Cela a beaucoup changé au cours des dernières années et mes chef(fe)s d'équipe ont repris beaucoup de mes tâches. Cependant, j'attache beaucoup d'importance à garder le contact avec les employés de l'entrepôt. J'aime bien m'asseoir aux commandes d'un chariot élévateur et donner un coup de main, surtout maintenant, pendant les ventes de Noël. Pendant cette période, je suis plus sur le terrain et soutiens l'équipe autant que possible.
Depuis le premier jour, j'essaie de vivre l'esprit Galaxus et de le transmettre sur le terrain.
J'ai l'impression que la proximité avec tes employés et la collaboration sont primordiales à tes yeux. Est-ce que cela se reflète aussi dans votre esprit d'équipe ?
Oui, beaucoup. On sent très bien la cohésion qui règne ici et, malgré le stress, l'ambiance est géniale. Depuis le premier jour, j'essaie de vivre l'esprit Galaxus ici à Krefeld et de le transmettre sur le terrain. Ce n'est pas toujours facile et va même parfois à l'encontre du travail en logistique, car une certaine discipline est nécessaire en raison des structures de l'entrepôt. Néanmoins, il est important pour moi que les employés aient du plaisir à faire ce qu'ils font. De temps en temps, nous commandons des pizzas tous ensemble et nous renforçons notre cohésion en dehors des processus de travail. Comme le montre le feed-back des collègues, j'arrive à créer un lien entre la structure plutôt fixe de la logistique et la culture d'entreprise de Galaxus ; ce qui me réjouit beaucoup.
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Comment as-tu découvert Galaxus ?
On pourrait parler d'une bénédiction déguisée. Je n'étais plus satisfait chez mon ancien employeur, ce qui était surtout lié à l'ambiance de travail qui y régnait. Je m'en souviens très bien : c'était un lundi matin et j'étais déjà de mauvaise humeur après une heure de travail. J'ai donc consulté les offres d'emploi actuelles et je suis tombée sur celle de Galaxus. Sa formulation n'était pas comme les autres, ce que j'ai trouvé très cool, et j'ai ensuite postulé au petit bonheur la chance. Au cours du processus, j'ai rapidement constaté que ce poste me conviendrait parfaitement ; je voulais absolument ce travail. Quelques entretiens et quelques semaines plus tard, je me trouvais à Zurich pour la dernière interview. Quand j'ai reçu le poste, j'étais aux anges.
[...] le fait que tout le monde se parle d'égal à égal. Chez Galaxus, c'est une réalité que je n'ai encore jamais rencontrée ailleurs.
Intéressant ! Et entre temps, comment trouves-tu le travail chez Galaxus ?
J'ai été le premier employé à Krefeld et ce fut un voyage passionnant et excitant. J'ai pu assister à la croissance et aux changements tout en y contribuant, ce dont je suis très reconnaissant. Ce que j'apprécie le plus ici, c'est que tout le monde se parle d'égal à égal. Chez Galaxus, c'est une réalité que je n'ai encore jamais rencontrée ailleurs. Bien sûr, nous sommes une entreprise orientée vers la réussite. Je pense que cela fonctionne si bien chez Galaxus, car les collaborateurs sont impliqués et peuvent prendre des décisions eux-mêmes. Tout le monde développe ainsi un sens des responsabilités personnel et contribue à faire avancer l'entreprise. Ce qui est cool aussi, c'est que nous fêtons nos succès. On le fait vraiment chez Galaxus ; et avec plaisir (rires).
Tout ne peut pas toujours se passer sans accroc, non ? Quelles sont les difficultés auxquelles vous êtes confrontés au quotidien ?
Ici, en Allemagne, après seulement trois ans, nous n'en sommes qu'au début. Malgré les bases de planification et les chiffres actuels, le travail n'est pas vraiment prévisible. Par exemple, des incertitudes subsistent toujours quant au volume de marchandises censé arrivé le jour suivant ou la quantité de commandes passées le week-end. Nous devons alors réagir spontanément à ces choses et les maîtriser en conséquence avec les personnes disponibles. Cela fait déjà quelque temps que nous faisons face à une surface limitée à Krefeld, ce qui nous oblige à beaucoup improviser. L'année dernière, j'ai dit que nous pouvions encore réaliser les ventes de Noël 2021 ; en utilisant beaucoup de feintes (rires). Mais l'année prochaine, cela ne fonctionnera plus, nous serions beaucoup trop à l'étroit. Les projets d'extension sont déjà prêts et nous sommes confiants pour l'année prochaine.
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Que fais-tu en dehors du travail ?
Je suis très souvent en déplacement et j'aime bouger. Je joue au football depuis que je suis enfant, et je continue pour le plaisir avec des amis. Et depuis quelque temps, j'ai découvert le « spikeball », un sport à la mode qui vient des États-Unis et auquel je joue deux fois par semaine. Une autre de mes passions est la musique : cela fait 25 ans que je joue du trombone et que je fais partie d'un groupe de carnaval. Quand l'époque du carnaval arrive, on me rencontre lors de concerts ou en train de faire la fête. Sinon, j'aime aussi me rendre à des festivals ou des concerts ; espérons qu'ils seront bientôt à nouveau plus réguliers. Sans oublier mon chien Marshall qui me tient en haleine (rires). Parfois, je l'emmène aussi au bureau, ce qui réjouit tout le monde, surtout le chien qui adore être caressé par autant de personnes (rires).
Merci, Steffen, pour le temps que tu nous as consacré et pour cet aperçu passionnant.
Si Steffen vous a donné envie de vous lancer à Krefeld ou à Hambourg, cliquez ici pour voir nos offres d'emploi.
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De nature joyeuse et grande fan de montagne.