Bureaux de la rédaction : Flo gère les câbles d’une main de maître
Dans cette série, la rédaction vous présente l’équipement qu’elle utilise au quotidien, que ce soit pour travailler ou pour jouer. Ce qui caractérise mon bureau, c’est l’étroitesse de l’espace que j’ai à disposition.
Depuis l’automne 2017, je vis dans un confortable deux pièces que je paie à un prix tout à fait dérisoire pour la région de Zurich. Le gros point négatif : le manque de place. Je n’ai donc pas d’autre choix que de travailler assis au petit bureau qui m’accompagne depuis mon enfance.
28 pouces : le minimum acceptable
Faire tenir tout l’équipement dont j’ai besoin au quotidien sur un bureau de petite taille n’est pas chose aisée. Je dois faire des concessions. D’autant plus que mon meuble TV, y compris la télévision et les consoles, jouxte le bureau. C’est aussi la raison pour laquelle j’ai tout un tas de multiprises ainsi que d’innombrables câbles qui jonchent le sol. Tant qu’ils ne me dérangent pas pour taper sur le clavier, ils peuvent rester là où ils sont. En revanche, je ne fais aucun compromis en matière d’écrans.
Impossible de me passer de mon MateView de 28 pouces signé Huawei. Un solide monoboîtier en aluminium brossé, plat et doté d’un écran Edgeless. Je l’adore.
J’utilise un MateView SE comme deuxième moniteur. Il est lui aussi signé Huawei et fait 24 pouces. Ils sont tous les deux réglables en hauteur et, placés sur des supports, j’arrive plus ou moins à les mettre au même niveau. L’avantage : l’espace occupé par les moniteurs n’est pas totalement perdu, je peux y glisser ma station d’accueil ainsi qu’un ou plusieurs ordinateurs portables.
Au-dessus des écrans, j’ai accroché l’une de mes images préférées. There is a mouse in the house, un artwork en 3D du New-Yorkais Charles Fazzino qui illustre la panique du millénaire informatique. On me l’a offert à la fin de mon apprentissage.
Je ne suis pas sûr d’avoir découvert tous les éléments qui s’y trouvent.
Des ordis issus de deux univers
En ce qui concerne les ordis, je suis super fan d’Apple. Je travaille principalement sur un Mac Mini qui m’a été prêté par Samuel. Il s’agit d’un Late 2020 avec puce M1, 512 Go de mémoire et 8 Go de RAM. Largement suffisant pour le bureau.
Pour les tâches plus exigeantes, j’ai un MacBook Air de la même génération avec 16 Go de RAM. Pour éviter de repartir du café avec un MacBook qui n’est pas le mien, j’y ai collé un énorme autocollant. Le logo du champion de football allemand de 1967, le Braunschweiger Turn- und Sportverein. En tant que supporter de Bâle, j’entretiens une vieille amitié avec le club traditionnel de Basse-Saxe.
Je possède aussi un ordinateur Windows. Il s’agit d’un Matebook de la marque Huawei, équipé d’un processeur Intel Core i7 de douzième génération, de 16 Go de RAM et d’un téraoctet de mémoire. Cela dit, je ne l’utilise presque plus que pour la rubrique hebdomadaire Astuce Windows, que je tiens avec Martin, et pour jouer occasionnellement à Counter-Strike : Source. Non, pas CS2. Et pas CS:GO non plus. Mais bien Source.
Une station d’accueil relie mes trois ordinateurs aux écrans. La station d’accueil a commencé par faire des siennes avec les appareils Apple, mais l’application DisplayLink a rapidement résolu le problème.
Keycap-Kevin strikes again
Chez moi aussi, notre virtuose du clavier Kevin a réussi son œuvre missionnaire. Si l’été dernier, je tapais encore en toute insouciance sur mon Logitech MX Keys S, aujourd’hui, je me demande comment j’ai pu l’utiliser si longtemps. Pas de travel, pas de beau son de frappe, pas d’ergonomie. C’est pourquoi je travaille maintenant avec le Keychron K4, qui a des commutateurs linéaires.
Il y a cependant de fortes chances que le K4 soit bientôt mis sur le banc de touche. Je fantasme actuellement sur un Neo80 assemblé par mes soins.
En revanche, je suis resté fidèle à Logitech pour la souris. J’utilise la MX Master 3S. Son poids, sa molette de défilement Infinite, l’ergonomie : tout joue !
Ready to podcast
Comme notre équipe fait principalement du télétravail, j’ai également investi dans du matériel de communication. Tout d’abord, mon casque Sennheiser. Ce n’est certes pas le modèle dernier cri, mais je le trouve confortable.
Je n’utilise pratiquement pas le microphone du casque, car je préfère mon Rode NT Mini. Cette association fonctionne assez bien pour les appels Teams et pour nos deux podcasts Tech-Telmechtel et Angefressen (en allemand). Si je commence à m’agiter sur ma chaise de bureau, une Markus d’IKEA, le son perd en qualité.
Pour la webcam, je suis pragmatique : j’ai la StreamingCam de Logitech. 1080p à 60 images suffisent. Je n’ai pas besoin de la 4K, le reste de mon équipe n’a pas besoin de voir toutes mes imperfections cutanées.
Si vous avez manqué un épisode, en voici la liste:
Samuel:
David:
Flo:
Jan:
Kevin:
Domi:
Tinu:
Depuis que j'ai découvert comment activer les deux canaux téléphoniques de la carte RNIS pour obtenir une plus grande bande passante, je bricole des réseaux numériques. Depuis que je sais parler, je travaille sur des réseaux analogiques. Un Winterthourois d'adoption au cœur rouge et bleu.