Stanley 1913 L'AeroLight
0.35 l
Le Quencher, le grand gobelet isotherme de Stanley, est partout. Même celles et ceux qui ne consultent Tiktok et Instagram que de temps en temps sont déjà tombés dessus. Perso, ce gobelet surdimensionné avec paille ne me plaît pas plus que ça. Je préfère de loin le mug isotherme de la même marque, qui est certes moins tape-à-l’œil, mais plus pratique.
Le Quencher de Stanley est tellement tendance qu’il est presque déjà passé de mode. On a l’impression que tous les influenceurs TikTok et Insta se baladent une tasse à paille surdimensionnée dans la main, comme s’ils s’apprêtaient à faire une randonnée dans le désert.
Ne vous méprenez pas : je n’ai rien contre la marque Stanley. Au contraire, je suis même fan. Certes pas de son Quencher d’une contenance de 1,18 litre, mais de l’Aerolight, souvent négligé, mais bien plus adapté à mon quotidien.
Pourquoi cette préférence pour l’Aerolight, beaucoup plus modeste ? Avec sa capacité de 350 millilitres, il me suffit tout juste pour un café, un thé ou une boisson froide en route. Il est donc idéal pour les petites soifs ou les apports de caféine entre les repas. Si vous trouvez que c’est trop peu, le même modèle existe aussi avec un volume de 470 millilitres.
Mais ce qui me plaît le plus, c’est qu’il est étanche. Vraiment étanche. Il n’y a pas de gouttes ni de fuites. Pour autant que le couvercle fileté soit bien fermé. « Antifuite », c’est ce que dit le fabricant dans sa description. Et pour moi, c’est le critère décisif. Car si de nombreux autres gobelets isothermes font bonne figure dans le porte-gobelet de la voiture, ils fuient et mouillent mes fournitures de bureau ou mes vêtements de sport dès que je les glisse dans ma poche ou mon sac à dos. Avec l’Aerolight, je n’ai pas à m’inquiéter.
Le couvercle n’est pas seulement étanche, il est aussi pratique pour boire. Vous pouvez même rabattre complètement le capuchon pour qu’il ne vous dérange pas lorsque vous buvez. De plus, vous pouvez le laver au lave-vaisselle en même temps que la tasse. Il gagne donc des points niveau hygiène.
Le fait que l’Aerolight ait la forme d’une tasse et non d’une bouteille me plaît également. Il est facile à remplir et à nettoyer grâce à sa grande ouverture. De plus, il est si compact qu’il se glisse facilement dans un sac de sport ou un sac à dos. Avec un poids à vide d’environ 200 grammes, je l’emporte volontiers. Stanley écrit que la tasse isotherme est 33 pour cent plus légère que ses autres tasses à double paroi en acier.
Le gobelet isole de manière fiable. Je n’ai pas mesuré s’il maintient effectivement la température pendant les six heures indiquées par le fabricant. Et pour de telles indications, cela dépend toujours de la température extérieure et de celle de la boisson versée. Dans mon cas, le thé au gingembre et au citron reste chaud pendant plusieurs heures, ce qui me permet de me réchauffer après avoir pratiqué un sport aquatique par temps automnal.
J’apprécie tout autant l’isolation en été. Cela fait longtemps que je ne bois plus d’eau tiède en bouteille plastique. Le gobelet Stanley maintient la fraîcheur de la boisson même lorsque la température extérieure est élevée. Il en va probablement de même pour les exemplaires plus grands de l’assortiment Stanley. Mais pour moi, l’Aerolight est tout simplement le modèle qui me convient.
Il existe de nombreux modèles de mugs isothermes, mais l’Aerolight de Stanley a réussi à me convaincre. Ma priorité ? La protection contre les fuites, car même le modèle le plus tendance ne me sert à rien s’il coule dans mon sac.
Le gobelet en acier inoxydable à double paroi garde les boissons au chaud ou, en fonction des besoins, au frais pendant plusieurs heures. La taille, la forme et le fait que le gobelet et le couvercle puissent être lavés au lave-vaisselle sont des atouts supplémentaires.
L’Aerolight de Stanley est donc le gobelet qui m’accompagne au quotidien et lors de mes aventures en plein air, et que j’aime bien faire remplir d’un latte ou d’un cappuccino au café du coin.
Pro
Plongeuse scientifique, instructrice de SUP, guide de montagne... même si les lacs, les rivières et les mers sont mes terrains de jeu favoris, je ne me laisse pas porter par le courant, car j'ai encore beaucoup à apprendre et à découvrir. J'aime aussi prendre de la hauteur et changer de perspective en volant avec des drones et en faisant du trail.