Un éplucheur à ail... Mais qui peut bien avoir besoin d’un tel objet ?!
Éplucher l’ail est l’une des tâches les plus rébarbatives en cuisine. C’est du moins ce que je pensais jusqu’à ce que je découvre un étrange objet en silicone : l’éplucheur à ail.
« Mais qu’est-ce que c’est que ce truc ? », ai-je demandé à mon épouse en tombant sur ce drôle de cylindre vert en silicone dans la cuisine.
Mon regard parcourt le plan de travail avec une certaine frénésie cherchant désespérément à attribuer une fonction à cet étrange objet. Peut-être pour ouvrir les pots de confitures récalcitrants ? Ou pour essuyer des surfaces poussiéreuses ? Ça pourrait aussi être un jouet pour chat... Mon cerveau s’emballe.
« Un éplucheur à ail, pourquoi ? », me répond-elle comme si c’était la chose la plus évidente au monde. Eh bien... Voilà une chose à laquelle je n’avais pas pensé.
L’éplucheur à ail : merveilleuse invention
Un éplucheur à ail, donc... Je ne savais même pas qu’une telle chose existait. Ni même qu’on pouvait en avoir besoin. Lorsque je veux éplucher de l’ail, je prends une gousse, la pose sur la planche à découper et je l’écrase avec le plat d’un couteau jusqu’à entendre le « plop » qui me signale que la peau s’est détachée de la gousse. Ça ne marche pas à tous les coups et on récupère une gousse d’ail légèrement écrasée, mais le résultat est acceptable. La gousse d’ail finira de toute façon en purée...
Alors, à quoi peut bien servir un éplucheur à ail ? Et bien tout simplement parce qu’il fait la même chose, mais est plus rapide, plus efficace et plus élégant. Enfin, c’est infiniment plus agréable que de se contenter d’écraser cette pauvre gousse d’ail. Alors comment ça marche ? Il suffit de glisser la gousse dans le tube et de faire rouler ce dernier entre les paumes de ses mains. Voilà, la peau se détache comme par magie de la gousse, car la face intérieure de l’éplucheur est très adhérente.
Pour le laver, je passe brièvement l’éplucheur sous l’eau. Attention : j’en ai mis un au lave-vaisselle par mégarde. À la sortie, l’intérieur du tube ne collait plus et l’éplucheur était fichu. Nettoyez-le donc à la main, ça ne prend que quelques secondes.
Vivre des aventures et faire du sport dans la nature et me pousser jusqu’à ce que les battements du cœur deviennent mon rythme – voilà ma zone de confort. Je profite aussi des moments de calme avec un bon livre sur des intrigues dangereuses et des assassins de roi. Parfois, je m’exalte de musiques de film durant plusieurs minutes. Cela est certainement dû à ma passion pour le cinéma. Ce que j’ai toujours voulu dire: «Je s’appelle Groot.»